Depuis un peu plus de 24 heures, les réseaux complotistes et des détracteurs de la Tronche en Biais (et de l’ASTEC) ont trouvé un nouveau cheval de bataille : notre association ferait la promotion de la pédophilie.
Ce n’est, bien entendu, rien de plus qu’une énième campagne de dénigrement à notre encontre, s’appuyant néanmoins sur une maladresse de notre part. En effet, sur notre boutique en ligne, nous autorisons le dépôt de nos visuels sur tous les vêtements disponibles, nous avons par conséquent, autorisé le visuel « J’aime la TeB » sur des vêtements pour enfants. Ce qui n’est pas de très bon goût, bien que ce visuel n’ait pas vocation à être un jeu de mots sexuel.
Nos détracteurs n’ont bien entendu jamais prévenu l’association en amont des polémiques pour nous laisser la possibilité de rectifier cette maladresse. Sans le moindre bénéfice du doute, et avec le concours de la complosphère, ils ont, sur les réseaux sociaux, fabulé et construit un narratif en repeignant Acermendax et l’ASTEC en promoteurs de la pédophilie. Bien que de peu d’ampleur, cette entreprise commence à multiplier l’identification de personnes publiques, d’organes de presse et de ministères pour se viraliser.
Nous étions déjà une officine pour les gourous complotistes et leurs affidés, il ne manquait plus que cette petite erreur pour faire de nous des pédophiles. C’est bien entendu, une stratégie marketing pour les businessmen de l’information sensationnelle et surtout mensongère. Depuis quelques temps, plusieurs d’entre-eux tentent d’importer la théorie du complot pédo-sataniste (QAnon) en France, et bien entendu, notre organisation étant déjà reptilienne, illuminatie, et franc-maçonne, elle ne pouvait également être que “pédo-sataniste”.
Nous entendons les inquiétudes et le dérangement, légitimes, et portés à notre attention en privé par plusieurs followers; nous sommes déjà en train de procéder aux modifications nécessaires. Concernant nos détracteurs, nous constatons simplement qu’au lieu de nous demander une correction, ils ont une fois encore préféré, par mauvaise foi, et en comptant sur l’opportunité de créer de toute pièce un scandale moral, fournir des munitions aux pires réflexes de pensée de groupes d’influence complotistes dont l’obsession pour les accusations de pédophilie, loin de rester sans conséquence, a plusieurs fois provoqué des drames ces dernières années jusque dans des lieux institutionnels.
Le Conseil d’Administration de l’ASTEC.